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"La Route du Père Norbert Mwishabongo"
25 février 2012

Aventure de voyage

Johannesburg - 8 février 2012

Aventure du voyage

Je suis arrivé ce matin à 9h20 heure locale à Johannesburg. Mon voyage comme tu le sais, était prévu pour le 06 et arrivé le 07. Mais quelle aventure ? Quel dommage ? Lundi 06/02, je me présente à l'aéroport à Alger, après 5 heures debout pour les formalités d'enregistrement, les checkings, etc ; à 13h25, je fais mon embarquement dans l'avion Qatar Airways pour le voyage Alger - Doha à 14h25.

Une fois dans l'avion, tu ne peux croire mon frère, j'ai bloqué, je ne pouvais ni me mettre debout, ni m'assoir ni faire aucun autre mouvement. Des douleurs épouvantables m'ont pris. Les hôtesses mes couchent rapidement sur 4 chaises (fauteuils), elles appellent les chargées de soins médicaux à bord, elles viennent et se disent le cas est grave, le commandant de bord arrive et signale au chef d'escale Qatar Airways à Alger. Il arrive et observe. Faut-il retarder le décollage ? pour lui permettre de se reposer et espérer qu'il peut voyager ? demande le commandant de bord. Le chef d'escale décide : évacuation d'urgence du malade. Il s'en prend à l'équipe qui faisait l'enregistrement des bagages, à la police, à presque tout le monde car semble t-il je me plaignais d'être trop gardé debout. Ce qui est d'ailleurs vrai car la police ne connaissait pas le genre du corset et pensait avoir à faire à un .... 

Ce chef d'escale d'une humanité formidable me demande si j'avais le contact de mon docteur traitant en Afrique du sud et un membre de famille. Je le lui donne. Très vite il les contacte et annonce que je ne pourrais plus arriver le 07 mais une autre fois. Il demande au docteur de produire d'urgence une attestation approuvant que je peux voyager. Il contacte la direction générale de Qatar à Doha et les médecins en charge de la compagnie. Mon histoire devient finalement une histoire entre trois médecins dans trois continents différents : Afrique - Asie et Amérique. Mardi 10h00, je suis convoqué à l'aéroport d'urgence : entretien avec le médecin à Doha et celui en Amérique. Au moment de l'entretien un fax de mon docteur à Johannesburg arrive : il peut voyager à n'importe quel moment et ne souffre d'aucune maladie contagieuse ni lui interdisant un voyage par avion. Il souffre de douleurs...

Départ Alger_2012_02
A l'aéroport d'Alger avec Nawel Kjeira, vice chef d'escale de Qatar Airways à Alger
et le Père Francis Du Pont, ancien du Congo (Katana Fomulac/Bukavu)

 Le chef d’escale Alger est informé et mon départ est décidé sur place. Il doit partir le plus vite que possible en Afrique du Sud pour les soins : je passe du bureau à l’enregistrement et dès ce temps, sur une chaise roulante. Les confrères sont avertis par le chef d'escale. Du chef d'escale, une infirmière est détachée pour m'accompagner jusqu'à Doha ( une indienne de mère tanzanienne) au lieu de 4h00 nous passons seulement 2h30 d'attente à Doha. A 1h40 du matin (aujourd'hui) Doha - Johannesburg, sur un lit. Wow, c'est le magnifique voyage que j'aie jamais fait. Au lieu de 9h00 nous passons seulement 6h00 de vol quelle vitesse cet avion QR 584 ? Impeccable service, je passe d'une chaise roulante à une autre puis à la voiture du frère René à Joburg, frère René qui est venu m'accueillir.

A la rencontre avec le docteur : il me regarde puis m'examine pour deux-trois minutes, la solution est là : le coup du froid (1); Une régression d'état par rapport à mon premier séjour (2), la fatigue (3), arrêt immédiat de tout médicament (4) repos et repos. Voilà la cause des douleurs qui ont fait que je suis allé jusqu'au point du blocage dans l'avion, blocage qui m'a valu l'évacuation et un voyage très rapide Doha-Johannesburg. Rendez-vous avec le médecin, le 14 à 15h00. Demain soir je dois l'appeler pour lui dire comment je vais.
 
Bien, juste un partage de l'aventure du voyage.
Amitié, Norbert

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19 février 2012

Carême 2012 - Rencontre à Johannesburg

CARÊME_2012

Toute occasion de rencontre avec mon frère, ma sœur est une opportunité de grandir dans mon humanité, un appel à dépasser les apparences et les préjugés pour apprécier et admirer la grandeur, la miséricorde, la bonté ... de Dieu à travers l'autre mon semblable.

Bon carême 2012 ! 

 

Nous sommes le 19 Février 2012, au complexe « 3. Panther Place », Johannesburg, Afrique du Sud. C'est à cinq minutes en voiture de notre communauté Missionnaire d'Afrique à Edenglen, Wagenaar Road.

Il est 15h15, je descends à la piscine pour nager et faire des exercices du dos comme recommandé par le docteur. Je trouve à la piscine deux familles prenant aussi un temps de détente et un verre de liqueur et de bière. Les hommes dans la piscine avec les enfants, les femmes parlent entre elles. Après avoir saluer l'équipe en Zoulou : « Sanibonane ! » Bonsoir ! « Yebo » (salut ou merci) me répondent l'équipe, je descends et commence ma natation d'un côté en laissant un autre pour les messieurs et leurs enfants. Benje, un de deux me rejoint et me demande de plonger avec lui. Cette demande nous permet d'engager un dialogue très intéressant. Je suis Benje se présente-il, artiste, enseignant et aime la philosophie. Je suis père de deux enfants poursuit-il et ma femme m'appelle « love, love, love » (Amour, amour, amour).

Je suis Norbert, prêtre Missionnaire d'Afrique. Je ne suis pas marié. « Oh ! You are a pastor ? » (oh ! tu es pasteur) me demande Benje. « Yes » (oui) je lui répond. « In which church ? » (dans quelle église?) poursuit-il. Catholique, je lui répond. Nous nous serrons les mains puis, il rejoint son ami.

Un temps après, « man, can you join us please. We are all brothers, come on man, don't remain alone. South Africa is a rainbow nation » (Monsieur, peux-tu nous joindre s'il te plaît ? Nous sommes tous frères, viens monsieur, ne reste pas seul. L'Afrique du Sud est une nation arc-en-ciel 'multicolore'). Pourquoi rater une opportunité de rencontre et d'humanisation ? Sans hésiter, je les rejoins avec plaisir. Assis dans l'eau du côté enfants, une mesure de whisky m'est servie et l'échange à trois commence.

« Qui est missionnaire du point de vu chrétien ? » Demande Benje. Son ami répond : « Mugabe is mercenary, Ntutu is Missionary (Mugabe est mercenaire, Ntutu est missionnaire) ». nous rions de la réponse puis Benje poursuit « yah, but the question still remain » (oui, mais la question est toujours posée.

J'explique que dans l'angle chrétien, nous sommes tous missionnaires. Je dis ceci pour la seule fondamentale et primordiale raison que, nous sommes tous appelés à vivre dans l'amour, la solidarité envers les uns les autres, la fraternité avec tout homme, l'hospitalité, la générosité …, les attitudes qui émanent de notre nature et vocation humaine d'abord, puis, notre vocation religieuse qu'importe notre appartenance religieuse. Vouloir faire équipe avec tout le monde et permettre à chacun de s'épanouir et s'accomplir dans la société humaine, voilà notre mission. Voilà notre vocation humaine, voilà ce qui fait de chacun de nous missionnaire. A ce point, je donne l’exemple de l'invitation de Benje à les joindre jusqu'à m’offrir une mesure de Whisky, comme un fait missionnaire.

Néanmoins, je poursuis dans mon explication, il existe une différence dans la façon de vivre cet appel missionnaire universel. Ainsi, Il y a des missionnaires qui sont en dehors de leurs pays, ce qui est mon cas par exemple, et ceux qui sont dans leur propre pays, leur propre famille ; c'est votre cas. Bref, il y a, étant tous et toutes missionnaires, différentes manières de l'être ; marié ou non marié, consacré ou non consacré mais dans son propre pays, sa propre famille d'un côté et de l'autre, consacré ou non consacré mais en dehors du pays pour témoigner de l'amour de Dieu à toutes les nations et ayant pour famille, toute personne qui lui ouvre sa porte tangible et spirituelle.

« Well said man, so we are all missionaries but in different ways. Then I am a missionary to my wife and my children. » (Bien dit monsieur, nous sommes donc tous missionnaires mais dans différentes manières. Je suis donc missionnaire à ma femme et mes enfants). « Bien sûr Benje », je lui réponds.

Après l'échange sur qui est missionnaire, Benje nous entraîne dans l'échange politique. La question de « Julius Malema » président de la jeunesse Sud Africaine, avec ses idéologies et méthodes d'emballer les jeunes ; la présidence Sud Africaine des trois présidents : Mandela, Thabo Mbeki et Jacob Zuma, n'est pas laissée. Notre Afrique n'a pas absolument pas besoin des gens qui incitent à la violence, aux idéologies raciales, ethniques, tribales, etc., mais des gens qui éduquent et qui dotent les autres des capacité pour « inpower »  la population pour que la population se prenne en charge et non dépendre éternellement de la manne venant de certaines personnes. Avec ceci, nous touchons le proverbe « Si tu me donnes un poisson je mangerai un jour mais si tu m'apprends à pêcher, je n'aurai plus jamais faim. »

Avant de poursuivre nos échanges, un tour des morceaux de poulet bien grillés et pimentés passe, nous plongeons en profondeur et faisons une compétition sous marine. Après cette pose, nous poursuivons notre débat politique. Ne voulant pas trop m'aventurer dans la politique Sud Africaine, j'évoque le cas de la politique Congolaise qui est ces jours-ci pour moi, juste une bonne salade des fruits dans laquelle, les Congolais, sans se rendre compte qu'on les endort au lieu de les entraîner au boulot pour développer et bâtir leur pays se fondant sur le message très profond de l'hymne nationale : « Debout Congolais » qui appelle, interpelle à la l'action ; ils se laissent endormir, flatter, enrouler dans la farine comme des bébés, et par la classe politique (que cela soit le côté gouvernemental ou l’opposition) et par une partie de l’Église Catholique qui, au lieu d’interpeller la conscience congolaise, elle l'enroule dans le sommeil en l'entraînant de marcher je ne sais pour quelle raison. Fait que je désapprouve et condamne totalement.  Ayant partager sur la situation politique au pays, une politique bien adaptée aux bébés et enfants non encore capable de distinguer la démagogie de la réalité, je reste écoutant et contribue de temps en temps au partage sur la politique Sud Africaine que je ne maîtrise pas.

Fatigué d'un échange qui divise mes deux amis de cet après midi du 19 Février, en ce qui concerne la prise de position politique ; je lance en conclusion ceci : « Frères ne perdons jamais notre valeur précieuse et fondamentale qu'est l'hospitalité Africaine. Ne nous enfermons pas dans les tribalismes, les ségrégations raciales, nationales, tribales, etc., Sachons voir en chacun chacune de nous, non d'abord un concourant, un compétiteur : blanc ou noir, Zoulou ou Afrikaner, etc., mais une personne humaine qui jouit de la même dignité humaine que moi et avec qui je suis appelé à vivre, avec qui je peux collaborer pour bâtir ce monde, un comme moi, un semblable avec qui je suis invité à joindre mes forces pour bâtir la paix, la liberté, la justice, etc., dans ce monde. Un avec qui je peux faire de ce monde un endroit où chacun X ou Y, trouve sa place de vie et/est respecté, accepté, promu, etc., dans sa dignité humaine. »

Après cette intervention, cette conclusion, nous nageons encore en fois puis, je m'allonge au bord de la piscine pour chauffer le dos avec la chaleur des briques. Quelques minutes après, les femmes appellent leurs maris qui sortent de la piscine pour partir. Il est 17h passé.

L'ami de Benje vient en premier me dire au revoir et injecte cette parole : « Je regrette que tu sois prêtre, tu ferais mieux de marier une fille de ma famille. Penses y. (It is really unfortunate that you are priest, am sorry for you. It could be good for you to marry a girl from my familly. Think about)  ». Alors que son ami me propose de marier une fille de sa famille (sa petite sœur peut-être),  Benje de son côté me raconte cette histoire comme au revoir: « Un docteur remplissait son devoir comme médecin à l'hôpital quand quelqu'un l'appelle au téléphone et lui annonce la mort de son unique fils dans un accident de voiture. Le docteur quitte l'hôpital et se précipite à la morgue pour voir le corps de son fils. Le jour des funérailles de son fils, alors que le docteur était au cimetière ; avant même que le corps de son fils ne soit descendu dans la tombe, le docteur est appelé d'urgence à l'hôpital. Laissant les funérailles de son fils, il s'en va précipitamment à l'hôpital. Un papa vient à sa rencontre et l’insulte : quel genre de docteur es-tu ? Mon enfant est dans un état grave après son accident de voiture, et toi comme docteur tu n'es même pas à ton poste. Le papa de l'enfant accidenté, se lance dans les acharnements contre le docteur ; insulte sur insulte. Le docteur ne répond pas et vite il s'échange et entre dans la salle d'opération. Il réussit à sauver la vie de l'enfant du papa. En sortant de la salle d'opération, le papa l'aborde encore et continue à l'insulter. Poursuivant ses insultes contre le docteur, il lui demande : lâche docteur, comment est alors mon enfant ? Va t-il survivre ? S'il meurt tu auras un compte à rendre avec moi. Le docteur répond au papa : 'Merci pour toutes tes insultes. Quant à savoir si ton enfant est vivant ou mort, Dieu te répondra à ma place.' Un moment après, le papa voit une infirmière qui sort de la salle d'opération et lui demande les nouvelles de son fils en insultant le docteur et condamnant son retard, sa lâcheté, etc. L'infirmière regarde le papa et lui dit : 'Papa, ton enfant a eu un accident de voiture, il était amené ici à l'hôpital dans un état critique. Le docteur vient de sauver sa vie. Ton enfant est vivant et il n'y a absolument pas de danger de mort pour lui. Le docteur que tu insultes, condamnes ... et appelles lâche, son enfant a eu un accident de voiture et il en est mort sur le champ. Aujourd'hui, c'était les funérailles de son enfant. Et rassure toi que quand nous l'avions appelé d’urgence pour ton enfant, il était au cimetière enterrant son fils unique. Il ne l'a même pas enterré, le corps n'était encore pas descendu dans la tombe quand il a reçu le coup de fils de l'hôpital et est venu précipitamment sauver la vie de ton fils qui n'est pas unique. Papa, dis-moi, entre toi et le docteur, qui est dans la grande douleur ? Qui est lâche ? Qui est plus humain ? Toi pour qui l'enfant est, après son accident de voiture, vivant et que tu verras, porteras, toucheras, etc. ; ou le docteur pour qui, l'enfant est mort sur le champ après un accident de voiture et qui, a laissé son enfant au cimetière sans l'enterrer ?' En entendant ce que l’infirmière disait, le papa fut bouleversé et profondément ému. Il demande à rencontrer le docteur pour lui demander pardon. Mais trop tard, le docteur était déjà parti pour au moins recevoir les gens qui venaient lui adresser les condoléances à la maison ».

M'ayant raconté cette histoire, Benje conclut : « Il ne faut jamais juger des personnes sans savoir ce qu'elles endurent en elles. Ne jamais juger l'autre car, il peut être dans une situation pire et complexe que toi. Il faut savoir traiter l'autre humainement même s'il est lâche. Nous sommes d'abord des êtres humains, appelés à être des missionnaires les uns pour les autres. »

Après cette morale, il me dit : « Merci pour ton interpellation à voir dans chacun chacune son semble avec qui, un est invité à collaborer, à se joindre, à travailler ensemble pour bâtir un monde plus juste, humain, solidaire, compatissant, amoureux, etc., un monde dans lequel tous et toutes trouvent la joie de vivre et trouve de l'espace où un est respecté et considéré dans sa dignité humaine. Merci pour interpellation à garder à cœur la valeur suprême de l’hospitalité. J'ai bien aimé ton attitude, tu regardes, tu écoutes, tu discernes puis tu interpelles. Je désire assister à ta prédication. Invite moi dans ton église voici mon numéro cellulaire. Je témoignerai qu'enfin j'ai rencontrer dans ma vie, un prêtre, un pasteur qui prend du temps pour écouter et qui, simple, nage avec les profanes que nous sommes, partage notre amitié et nous entraîne à sa minière à s'ouvrir à la vocation humaine et au monde. Prière m'inviter pour un témoignage dans ton église et surtout pour t'écouter prêcher. » Il poursuit : « Connais-tu Abraham ?, Dieu lui a fait la promesse d'avoir beaucoup d'enfants, nombreux comme les étoiles dans le ciel et le sable sur le rivage de la mer. Qu'il t’accorde aussi beaucoup d'enfants dans ce monde. 'Take care man, cheers and may God cure you (prends bien soins de toi et que Dieu te guérisse) ».

Ayant dit ceci, il me quitte pour rejoindre sa femme et enfants sans me donner l'opportunité de partager comment son histoire du docteur me touche et surtout comment je l'appréciais et comment j'ai admirer son humanité.

 

Méditant la première lecture de ce premier jour de Carême 2012, Mercredi des cendres ; je viens, te partageant mon expérience du 19/02, te souhaiter un carême plein de témoigne humain et spirituel. Ouvre ton cœur au Souffle de Dieu, sa vie se greffe aux âmes qu'il touche ; (…) ouvre ton cœur au Souffle de Dieu pour qu'il habite tes louanges et tes services. Que ce carême 2012 soit pour toi une opportunité pour faire de ce monde un monde plein de bonheur, de paix, d'amour fraternel, et d'humanité. Que tu trouves dans chacun, chacune de tes semblables, l'image de Dieu qui t'interpelle au pardon, à la conversion … afin de sortir de ce qui te tient captif de l'égoïsme, l'individualisme, etc.

 

Amitié,

P. MWISHABONGO MUKWANGA Norbert

Missionnaire d'Afrique (Père Blanc)

Présentement à Johannesburg, en Afrique du Sud.

 

 

7 février 2012

2011 Quelle année !

Le Père Norbert a vécu une année 2011 pas très calme... On en a déjà parlé brièvement dans un post. Les déplacements qu'il a dû faire ont été l'occasion de multiples rencontres. Aujourd'hui, le Père Norbert nous en propose une relation détaillée et abondamment illustrée. Il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous pour accéder au fichier complet (+/- 4 Mo).

Dans le désert_méditation sous les figuiers
Au Sahara : dans le désert, méditation à l'ombre des figuiers

 


2011, quelle année, mon Dieu !

cliquer sur le lien pour lire le fichier illustré :

Norbert_2011_Quelle_annee.pdf


 et encore des photos "2011"...

Sola_01
Le charme de SOLA (Katanga), le village du P. Norbert

Marche dans le désert à la suite de Moïse, Elie et Jésus
Au Sahara. Marche au désert, sur les pas de Moise, Elie, Jésus...

A Bukavu A Johannesburg
           A Bukavu                                                                             A Johannesburg

à suivre ... !

 


 

"La Route du Père Norbert Mwishabongo"
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